Il s’agit un ouvrage collectif de 315 p. publié sous la direction de Christian Buson, en 2016 chez L’Harmattan abordant des questions à enjeu sociétal fort et où l’écologisme politique tend à imposer sa loi ; relayé par des media acquis au politiquement correct : un ouvrage présentant 21 contributions de scientifiques et dont la préface de Claude Allègre précise l’ambition « Dans l’ambiance actuelle , tout progrès scientifique est a priori suspect et il faur félicirer les auteurs d’avoir écrit des articles qui, tout en défendant leur point de vue, n’occultent pas les vue opposées ».
Remercions Christian Buson, ingénieur agronome d’avoir apporté son expérience et son énergie à dénoncer le caractère non scientifique de l’écologisme militant et susciter ainsi le débat
« Face aux déluges de contre-vérités, nous pourrions sourire tant le grotesque et l’inconsistance des propos sont la plupart du temps manifestes. Mais la désinformation obtenue par la répétition de ce « prêt à penser écologiste » et sa pénétration généralisée dans les écoles, de la maternelle à l’enseignement supérieur, et dans notre réglementation, nous amènent à proposer dans cet ouvrage un début de réponse critique argumentée. Il est grand temps d’abandonner la religion de l’écologisme et les déclamations incantatoires pour nous tourner vers les sciences de l’environnement et de la santé. »
En définitive il s’agit d’un ouvrage bienvenu proposant de substituer la science et la réalité au psittacisme et l’idéologie. Il fait écho à l’ouvrage de Ronald Bailey « The end of doom » célébrant la fin du catastrophisme écologique
Max Falque